Amako

Nom :
Amako

Âge :
21 ans

Clan :
Aucun

Race :
Humaine

Description physique :
Avouons-le. Elle n’a pas l’air de ce qu’elle est. Un minois aux traits particulièrement doux, des prunelles saphirées, d’un bleu sombre. Des lippes fines, charmantes. Un nez fin. Si ses sourcils ne se fronceraient pas si souvent, si son visage serait plus souriant, elle aurait l’image parfaite de la douceur –elle retient sa de sa mère, faut dire-.

Elle a de longues bouclettes rousses qui lui frôlent les reins, elle les attache rarement, peut-être l’espace d’un combat, elle les natte parfois. Quelques mèches qui viennent parfois glisser sur ses joues au teint de pêche, ou encore devant ses iris, elle les chasse jamais en faite, simplement lorsqu’elle est irrité pour bien voir le visage de son interlocuteur.

Une taille de guêpe, un ventre creux, absent. Elle est en forme, mais ne mange que le strict nécessaire, il faut dire qu’avec des heures de marche par jour, elle garde sa silhouette. Des mains frêles, mais ils frappent, ne vous inquiétez pas pour sa.

Pour de ce qui est de son habillement, elle favorise les pantalons noirâtres et les chandails aux manches longues.


Caractère :
Disons que si elle avait continué à vivre avec sa mère, même son père présent, la différence aurait été frappante! Maintenant, c’est une jeune femme possédant un très fort caractère. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds, par personne, personne ne l’insulte sans qu’elle l’insulte en retour. Elle est forte, enfin, elle veut montrer qu’elle est forte et pourtant, ce n’est pas vraiment le cas. Elle se donne un caractère de cochon –enfin, sa c’est très vrai-, veut montrer que rien ne l’affecte, mais non. Si elle voit un homme oser faire du mal à une femme –c’est pire si c’est un Yokai- il est sûre d’avoir, au minimum, le nez en morceau.

Elle est cependant très loyal, au contraire de son père, elle c’est promit de ne jamais trahir quelqu’un. Et disons que ‘’quelqu’un’’ ne se présente pas souvent, les gens dont elle offre sa confiance ou son respect font partie de ceux-là. Mais elle hait la trahison. Elle ne garde pas un air antisociable ! Elle peut être très souriante et très gentille quand elle croise des gens sympathiques, disons que voyager en étant insociable serait vraiment ennuyant, surtout pour quelqu’un comme elle!

Pour ce qui est en matière d’amour et d’amitié. Pour ce qui est de l’amitié, elle tient à connaître vraiment quelqu’un ou simplement se fier à sa première intuition. Cependant, elle a déjà une réflexion toute faite en ce qui concerne les Yokai. Désolée. En amour? Elle ne veut pas trouver un homme comme son père – sa haine est devenue une obsession, on le sait-

Et côté orgueil. La souffrance physique, non, elle ne montre jamais cela, mais lorsqu’elle exprime ses opinions, ils se font entendre, pour ce qui est des larmes…disons qu’elle ne les cache pas, mais devant trop de gens, elle se retient et attend. Mais disons que sa bouillonne en elle, elle a tellement à dire, tellement à se vider le cœur, si cela vient à arriver, elle ne se gênera pas pour pleurer.

Histoire : (Si c'est trop long, je pourrais faire un résumé)
La nuit était très noire cet été là. De gros nuages drapaient le ciel, ne laissant pas l’opportunité de voir ni les étoiles, ni la lune, rien. Mais entre tout cela, il avait le vent qui soufflait et mêlé à ce sifflement, il avait les cris d’une femme. Une femme qui donnait naissance à un enfant, sans son époux, seulement un docteur et une sage femme. Allez savoir pourquoi elle avait prit cette homme comme mari d’ailleurs, même entre les amies de cette pauvre femme, circulait la rumeur qu’il devait être avec une maitresse, allez savoir pourquoi. Bref, elle donna naissance à une petite fille, Amako, mais disons que quelques années plus tard, les gens aurait l’habitude de l’appeler simplement Ama’.

Elle n’aura pas vraiment conscience de ce qui se passait durant les quelques premières années de sa vie. Poupon qui ne voyait pas encore l’absence de son père, la tristesse de sa mère. Aussi étrange que cela puisse paraître –lorsqu’on la connaîtra à un âge plus avancé- elle avait été un poupon bien sage et toute souriant. Surtout lorsque sa mère venait la prendre dans ses bras.

Lorsqu’elle atteignit les 4-5 ans, elle montrera un amour particulier pour les arts martiaux. Enfin, tout ce qui était en rapport avec le combat à main nue. Sa mère lui offrit avec joie le cour, voulant que sa fille ait déjà plus d’activités, voulant peut-être lui faire oublier l’absence de son père. Reste que pour le début, elle n’avait rien d’impressionnant, mais lorsqu’un enfant veut vraiment, c’est toujours adorable à voir. Mais c’est à ses 7 ans que tout changea. L’école d’arts martiaux avait recommencé et étant donné que c’était à quelques maisons de chez elle, elle s’y rendait parfois seule, mais en revenant il avait quelque chose qui ne tournait pas rond. Elle ne vit pas sa mère. Nulle part. Seulement une dame qui disait qu’elle allait s’occuper d’elle. Elle avait accourue jusqu’à son père pour des explications, pauvre petite. Au début, elle ne comprit pas vraiment ce que son père lui expliqua, mais au fil des années, cela deviendra beaucoup plus clair dans son esprit.

L’adolescence atteint, elle passait des heures à ses cours, restant même après pour continuer de s’entrainer, même son professeur lui permettait. En fait, c’était une manière d’oublier, une manière d’essayer de ne pas penser…non en fait un moyen de penser à se venger. Disons qu’à cet âge elle comprit beaucoup de choses. Pourquoi sa mère avait disparue ainsi, que son père n’était qu’un imbécile et un truand de la plus mauvaise espèce et qu’elle le détestait plus qu’elle le croyait ou encore qu’elle ne le disait. Elle comprit aussi que…peut-être…sa mère serait encore en vie. Et faut-il préciser qu’elle n’aimait pas les Yokai, cause de son père, mais sa mère ne les aimait pas beaucoup non plus et disons que maintenant, c’est encore compréhensible. Disons que la femme qui lui servait de ‘’nounou’’ ne resta pas longtemps, elle était devenue une enfant bien difficile lorsque sa mère fut partie. Son père la trouvait bien désagréable également, il faut dire qu’il n’a jamais eu d’amour père-fille qui fut établie entre les deux. Et c’est tant mieux.

C’est à ses 18 ans que son père se mit complètement à dos d’elle. Déjà qu’elle le détestait et il faut dire qu’elle se demandait si ce n’était pas réciproque. Un autre problème était survenue dans les affaires du père mais voilà que sa femme ne pouvant plus servir, il avait pensé que sa fille ferait bien l’affaire. Eh bien non. Jamais elle ne se laisserait faire. D’ailleurs, elle a peut-être éclaté le nez de son père en partant. Elle partie bien rapidement de chez elle, heureusement, elle avait prévue le coup. Et son père réalisera bien qu’il manquait quelques billets dans son portefeuille. Tant pis, elle aura assez d’argent pour s’offrir de quoi vivre durant un bon moment.

Et maintenant, disons qu’elle voyage. Ne retournant jamais du côté de son ancienne vie. Elle s’entraine avec de vraies personnes cependant! Disons que ça change d’un punching bag, non? Elle a même fait l’acquisition d’un coup de poing américain. Très utile selon elle, ça fait mal, tant mieux, non! Qui veut faire du mal doit être près à en avoir! Un dernier espoir d’enfant était sans doute de penser que sa mère était encore vivante et qu’elle était quelques part…elle la cherchait et en même temps, elle voulait se venger de son père. Elle voyage donc…encore et encore.